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Intérieur
Maintenant, que le tour du propriétaire est fait, on va devoir ouvrir le boîtier pour y installer notre configuration. Pour la paroi en verre trempé, il suffit de dévisser les quatre vis à main. La vitre repose sur des patins en caoutchouc. Pour les autres parois, c’est un peu plus complexe. Un début d’explication pour le nom du boîtier ? Pour retirer le premier panneau, à l’opposé de la paroi vitrée, il faut retirer six vis. Les deux autres panneaux sont en fait une seule plaque pliée qui comprend le top et les deux parois. Finalement, les parois sont en trois parties. Une plaque en verre trempé, une plaque et une plaque en U, toutes deux, en aluminium. Enfin, l’intérieur se dévoile. On peut noter qu’il n’y a aucun filtre pour retenir les poussières.
La paroi vitrée permet de visualiser les deux parties intérieures du boîtier. En démontant les parois du boîtier, on découvre le carton caché derrière une des parois. Ce dernier contient le riser PCIe 4.0. Un sachet zippé est également présent à un autre endroit. Il contient les vis et les serres câbles fournis par la marque. La structure du Rocket Complex est en acier noir.
Comme les autres Rocket, le Complex propose bien deux chambres. La première va accueillir la carte mère, le stockage et l’alimentation. La deuxième chambre va permettre de loger la carte graphique. A droite de l’ouverture de la paroi vitrée, nous avons la chambre de la carte mère, cette partie est refroidie par deux ventilateurs Kolink. Ces emplacements sont les seuls habilités à recevoir des ventilateurs.
