Test du clavier Cooler Master CK550 V2

En détails

Le voici notre Ck550 V2 ! Il profite de touches noires déposées sur un très joli cadre en aluminium brossé. C’est un clavier plein format mesurant 460 x 135 x 41 mm. Il pèse près de 1 kilo (908 g sans le câble). Il reprend quasiment les mêmes dispositions de touches que son petit frère, le CK550. La seule différence réside dans la touche Fn (sur celui-ci) qui était auparavant une touche représentant le logo Cooler Master. Le CK500 V2 nous laisse immédiatement une bonne impression de robustesse.

De l’autre côté, nous retrouvons au centre le logo Cooler Master. En bas, le clavier profite de deux patins anti dérapant. Au milieu de ces patins apparaissent différents logos et une étiquette.

Nous avons également sous le CK550 V2 deux pieds relevables. Ils sont équipés de patins anti dérapant.

Ces patins vont permettre de relever le clavier et de maximiser ainsi son ergonomie. L’aluminium brossé redescend le long des côtés du CK500 V2.

Le CK550 V2 est livré avec un repose-poignets (le CK550 première version n’en avait pas). C’est une plaque en mousse affublée du logo Cooler Master à sa droite. Il viendra juste se déposer devant le clavier sans attache particulière (aimant ou autre type d’attache). Choix étonnant, puisque si nous déplaçons le clavier, le repose-poignets ne suit pas. Il est recouvert d’un tissu type velours fin agréable au toucher mais nous émettons un doute sur son adhérence sur le long terme.
De l’autre côté, ce repose-poignets est recouvert d’une matière anti dérapant. Et ça ne bouge pas ! L’efficacité est là, même lors de sessions de jeu dynamiques.

Voici le rendu final du CK550 V2 accompagné de son repose-poignets. L’alimentation se fait par une prise USB 2.0. Le câble mesure 1,80 mais n’est pas tressé (il est recouvert de caoutchouc).

Le CK550 V2 va profiter de nombreuses fonctions grâce à la combinaison de touches du clavier et de la touche Fn.

Pour la partie haute du clavier :

  • Fn + ESC : profil par défaut,
  • Fn + E : remet tous les réglages par défaut,
  • Fn + R : réinitialise le profil par défaut,
  • Fn + F1 à F8 : gère de l’éclairage RGB,
  • Fn + F9 : verrouille Windows / verrouillage du clavier complet,
  • Fn + F10 : enregistre le rétro-éclairage LED,
  • Fn + F11 : enregistre une macro,
  • Fn + F12 : efface une macro.

Au niveau des touches d’insertion, nous avons :

  • Fn + Impr.Ecran : boucle de macro simple,
  • Fn + ArrêtDéfil : boucle de macro infinie,
  • Fn + Pause : répétition de la macro,
  • Gestion multimédia complète avec les touches situées en dessous.

Les touches directionnelles + Fn vont servir à la gestion de la vitesse des effets d’éclairage RGB et à sa direction (gauche ou droite).

Enfin, la combinaison des touches Fn + 1 à 4 va permettre de charger quatre différents profils. Tout est repris dans le livret inclus dans le bundle du CK550 V2. A garder précieusement !

Une fois branché, le CK500 V2 nous fait profiter de son éclairage RGB. Il va venir se refléter dans l’aluminium brossé pour un très beau rendu.

Pour le CK550 V2 que nous avons, ce sont des switches rouges de TTC (Trantek Electronics Co.). Ils ont une durée de vie de 50 millions de frappes. Ces switches sont linéaires. Ceci signifie que la course de la touche est fluide contrairement à un switch « Clicky » qui aura une sorte de cran lors de la course ou un switch tactile. Du coup, la frappe est agréable car plus directe et sans obstacle ou retour. Le point d’activation de l’interrupteur est situé à 2 mm. Il ne faudra qu’un poids d’actionnement de 45 g seulement pour commencer à enfoncer la touche.

A l’usage, le bruit se fera en fin de course lorsque la touche sera en butée. Habitué au silence des claviers à membrane pour la rédaction des articles et des tests, le bruit des touches du CK550 V2 ne m’a pas non plus importuné. Ayant déjà eu en possession des claviers mécaniques, à comparer, le Ck550 V2 est relativement silencieux.

Le CK550 V2 a de nombreux modes d’éclairage (22 en tout) dont un joli mode Rainbow. Tout ceci est paramétrable grâce au logiciel MasterPlus+ que nous découvrons juste après.

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Arnaud.O

Comme Obelix, je suis tombé dedans étant petit. Heureux possesseur d'un Commodore 128 à 14 ans, j'ai côtoyé les Atari et Amiga de l'époque avant de plonger définitivement dans le monde du PC. Infirmier libéral de profession, je suis habilité à vous prescrire une bonne dose de news et de tests.

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Ergonomie
Prix
Nuisances sonores
Qualité frappe
Qualité globale
Rétroéclairage
Note finale

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