Test du boîtier InWin AIR FORCE

L’assemblage

À la manière d’un célèbre marchand de meubles suédois, certaines pièces du InWin Air Force sont estampillées d’indications.
Ainsi, pour monter le cadre du boîtier, il va falloir assembler les quatre morceaux (deux rouges et deux bleus en forme de « U »). Ceux-ci sont marqués d’un « UP » et « DOWN » sur leur emballage. Il va falloir retenir où est le haut et le bas, car il vont recevoir les parois en verre trempé par la suite, et le système de fixation de ces parois se situe en haut.

Le carton contient six petits sachets différents incluant les différentes vis. Elles sont facilement identifiables grâce au manuel. Pour unir chaque morceau du cadre, une vis suffit.

Les deux cadres sont assemblés. C’est rapide.

InWin conseille ensuite d’assembler les deux pièces qui sont l’arrière du boîtier et le plateau central.

Là aussi, les vis sont identifiées et il suffit de trois vis pour l’assemblage. « Vite fait, bien fait » dirait tata Suzanne !

Nous attaquons donc le contour du InWIn Air Force. Le premier morceau (marqué d’un « A » sur son sachet) aperçu au déballage vient se placer en premier. Il s’insère dans un coin du cadre.

Et à la manière d’un jeu de construction, il suffit de placer les morceaux les uns à la suite des autres. Là, il suffira de placer une première paroi filtrée parmi les deux proposées lors du déballage (la jaune ou la blanche).
Les deux pièces (angle et paroi) s’assemblent grâce à deux vis.

Et …. on continue par un autre angle (le « C »)…

… qui sera fixé aux parois par deux vis également.

Enfin, il faudra mettre le dernier angle (le « B ») et la dernière paroi (la seule non filtrée).

Inwin demande ensuite de placer les deux pièces pré assemblées, l’arrière et le plateau central. Ils se fixent, pour le moment, à la dernière paroi posée grâce à deux petites vis…

L’opération la plus délicate de ce montage va consister à retourner l’ensemble afin de se trouver face au dos du plateau central (côté ouverture permettant l’accès à la backplate du ventirad).

Là, il faudra visser le cadre au plateau central à l’aide de dix vis côté intérieur du cadre…

… et douze vis côté extérieur du cadre.

Voici donc notre premier cadre assemblé au plateau central et à l’arrière du boîtier. Ça prend forme et ça ne bouge pas ! Les vis sont assez nombreuses pour que l’ensemble soit déjà solide.

Pour en finir avec notre tournevis bien aimé, il ne reste plus qu’à fixer le deuxième cadre et ceci à l’aide de quatorze vis en tout (douze sur le bord externe du cadre et deux sur la partie arrière du boîtier).

Les deux pieds viennent tout simplement se clipser sous l’ensemble.

La base est là prête à recevoir le reste des accessoires (panneau des E/S, supports à disques durs et parois latérales).

L’installation des derniers accessoires est tout aussi simple. Les deux supports à disques durs se clipsent l’un à l’autre.

Ils viennent ensuite se clipser au fond du boîtier. Tata Suzanne dirait : « Simple comme bonjour ! ».

InWin a aussi prévu l’installation du panneau des E/S sans vis. Il vient aussi s’insérer dans l’ouverture prévue à cet effet. C’est tout ! Et ça tient bien également !

De ce panneau des E/S sort un câble qu’il faudra fixer au plateau central pour relier le boîtier à la masse.

Nous disions en tout début d’assemblage qu’il était important de respecter le « UP » et le « DOWN » notés sur les emballages des deux morceaux de cadre, car la partie haute de ces cadres allait recevoir le système de fixation des parois latérales. Nous y sommes ! Ces parois viennent se clipser en haut du cadre et tiennent grâce à des picots montés sur ressorts qui viennent s’insérer dans un système prévu à cet endroit.

La partie basse des parois se logent et s’appuient sur des ouvertures prévues dans le bas des cadres.

Une fois les parois montées, l’assemblage du InWIn Air Force est terminé. À noter, il y a 30 mm d’espace entre la paroi latérale droite et le plateau principal pour le câble management.

Il sera possible de jouer avec les différents éléments et d’obtenir un boîtier à l’aspect original aussi bien au niveau du cadre en mélangeant le rouge et le bleu…

…qu’au niveau de la façade en intervertissant les différentes parois.

Un régal cette étape ! C’est bien la force de ce boîtier que de faire passer un vrai moment ludique à tout bidouilleur de hardware. Le montage n’est pas sans rappeler les heures passées à assembler des Legos dans notre tendre enfance chez tata Suzanne. Les couleurs vives conviendront aux petits et aux grands enfants. Les possibilités et la facilité d’assemblage des différents éléments nous ont fait passer un bon moment.

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Arnaud.O

Comme Obelix, je suis tombé dedans étant petit. Heureux possesseur d'un Commodore 128 à 14 ans, j'ai côtoyé les Atari et Amiga de l'époque avant de plonger définitivement dans le monde du PC. Infirmier libéral de profession, je suis habilité à vous prescrire une bonne dose de news et de tests.

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