Test Phanteks Eclipse P300A Mesh Edition

Il y a quelques semaines, à la création de notre site pausehardware.com, nous vous avions présenté le Phanteks Eclipse P400A. Aujourd’hui, nous recevons son petit frère, le Phanteks P300A. Vous l’aurez compris, Phanteks propose une mise à jour de son P300 sorti en 2017 avec un boîtier axé sur l’optimisation du flux d’air, le A signifiant bien évidement Airflow et la façade en mesh garantissant cette bonne absorption d’air. Vos composants bien aimés vont-ils rester au frais cet été ? C’est ce que nous allons voir !

Pour rappel le Phanteks P300A est proposé à un prix bas défiant toute concurrence. En effet le prix annoncé par la marque est de 54.90 €

Emballage et Contenu

Nous recevons le boîtier dans un carton sans fioritures. En effet, la typographie noire et blanche ainsi que le dessin sommaire du boîtier n’ont rien d’extravagant. Et c’est tant mieux ! Nous allons à l’essentiel ! Il semble que ce soit le même emballage pour tous les P300.

Seul un des côtés du carton amène quelques précisions. En effet, nous avons le lieu de fabrication du boîtier, le lieu de création et un lien vers le site du constructeur. Ensuite, apparaît le poids de la bête. 6 kilos est un poids standard pour une moyenne tour, vous ne vous casserez donc pas le dos à le sortir du carton ! Enfin, sur une étiquette apparaît le numéro de modèle, ainsi que des précisions supplémentaires (présence d’une paroi en verre trempé ainsi que la couleur du boîtier).

Et on déballe !

Le boîtier est recouvert d’un sac en plastique large (n’oubliez pas, sortez couverts !). Il est en plus bien calé par deux solides blocs de polystyrène (pas de risque de déplacements involontaires dans le carton lors du transport). Vous y trouverez également une boite comprenant tous la visserie, où est ré-mentionné le nom du P300, ainsi qu’un sachet (vis et serre-câbles). Enfin, un petit livret est inclus (notice d’installation).

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Arnaud.O

Comme Obelix, je suis tombé dedans étant petit. Heureux possesseur d'un Commodore 128 à 14 ans, j'ai côtoyé les Atari et Amiga de l'époque avant de plonger définitivement dans le monde du PC. Infirmier libéral de profession, je suis habilité à vous prescrire une bonne dose de news et de tests.

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