Test Phanteks Eclipse P300A Mesh Edition

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Présentation de l’intérieur

Entrons dans les entrailles de la bête !

La façade en mesh se retire facilement (nous reviendrons au système de fixation juste après). Sous celle-ci, nous accédons directement au châssis (nous l’avons dit, pas de filtre car non nécessaire, le mesh acier assurant la filtration). Nous retrouvons deux emplacements pour des ventilateurs de 120 ou 140 mm. Vous pourrez également y installer des radiateurs pour watercooling de 120 / 140 / 240 / ou 280 mm. En bas de cette façade est prévu deux racks amovibles pour des disques durs de 2.5″ ou 3.5″. Son emplacement vous garantit donc le refroidissement optimal de vos disques. Vous y retrouverez la boite d’accessoires pré citée.

Pour enlever la façade, Phanteks a prévu six petits picots qui viennent s’insérer dans des loquets à bille. Le retrait de celle-ci est donc très facile et sans effort !

Bien que de format moyen tour, le Phanteks P300A Mesh Edition accueille vos cartes mères jusqu’au format E-ATX (largeur maximale de 275 mm). Phanteks a en plus prévu une large ouverture au milieu du panneau de la carte mère pour l’installation aisée de votre processeur et un accès facile à sa backplate.

Un ventilateur de 120 mm est pré installé à l’arrière. Le refroidisseur de processeur peut mesurer jusqu’à 165 mm, la carte graphique 355 mm.

Le châssis, ajouré à plusieurs endroits (dont deux passages au niveau du cache alimentation et deux en haut), vous permettra ainsi un câble management satisfaisant. Ici, pas d’œillets en caoutchouc pour passer vos connectiques, Phanteks a en effet opté pour un « décroché » dans le châssis avec cinq ouvertures (deux grandes et trois petites). Le fabriquant a prévu 7 slots PCI-e, vous aurez en plus la possibilité de mettre votre GPU à la verticale (accessoire en option) sans modifier votre boîtier.

Sur le côté droit, Phanteks a en plus prévu des bandes velcro pour réunir vos câbles. Ceux-ci viendront donc naturellement se loger dans le « décroché » que nous citions auparavant. Sous l’ouverture envisagée pour l’accès à la backplate, vous pourrez installer deux SSD de 2.5″ (un seul support d’installation fourni). Nous retrouvons donc en bas à gauche les emplacements des disques durs de 3.5″. Votre alimentation d’une taille maximale de 200 mm de long viendra s’insérer dans l’emplacement prévu. Elle reposera en plus sur quatre petit patins anti-vibration. Le filtre anti poussière est présent, la grille d’aération lui garantit l’apport en air frais.

Montage dans le Phanteks P300A

Pour faire notre test, nous avons équipé le Phanteks P300A de la configuration suivante :

  • Processeur : AMD Ryzen 5 3600X avec son ventilateur Wraith Spire
  • Carte mère : Asrock X570 Taichi
  • Mémoire : Corsair Dominator Rog 4 x 4 Go 3200 mhz
  • Carte graphique : AMD RX 5700
  • Alimentation : Thermaltake Toughpower PF1 1050 Watts
  • 2 Ventilateurs 120 mm en façade (le ventilateur rajouté en haut a été retiré pour le test)
  • SSD M.2 Crucial P1 500 Go
  • Windows 10

Le montage s’est bien déroulé, nous avons bien apprécié le petit « chemin de câble » qui remonte tout le long à gauche et permet de passer la quasi-totalité des câbles permettant ainsi un câble management facile. Le seul point gênant dans notre cas était la mise en place de l’alimentation. En effet, nous étions contraints de démonter la cage des HDD pour pouvoir placer notre bloc utilisé dans le test qui fait 200 mm de profondeur (connecteurs compris). Toutefois, nous savons pertinemment que notre bloc est surdimensionné pour ce type de configuration. Nous vous conseillons donc, si vous souhaitez profitez de la cage HDD, de partir sur un bloc de 160 mm de profondeur maxi (hors connecteurs).

Le boitier étant fourni avec un seul ventilateur 120 mm, nous avons rajouté deux ventilateurs de 120 mm à l’avant pour le test. Le ventilateur de 140 mm visible sur les photos a été retiré avant de démarrer les tests.

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Arnaud.O

Comme Obelix, je suis tombé dedans étant petit. Heureux possesseur d'un Commodore 128 à 14 ans, j'ai côtoyé les Atari et Amiga de l'époque avant de plonger définitivement dans le monde du PC. Infirmier libéral de profession, je suis habilité à vous prescrire une bonne dose de news et de tests.

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