Test de la chaise CORSAIR TC200 Fabric

Déballage

Et on déballe !

Chaque élément a été débarrassé de son enveloppe protectrice. Détaillons-les.

Cousin de tête

Corsair ne livre qu’un coussin de tête avec la TC200. Il n’y a pas de coussin lombaire, car il est intégré au dossier.
Ce coussin de tête est entièrement noir avec un tissu type feutrine (celui qui permet de faire des dessins avec ses doigts). Il est accompagné d’un élastique pourvu d’une attache qui servira à son maintien en haut du dossier. En forme d’osselet, ni ferme ni mou, il permettra un repos agréable de la tête (ou de la nuque, personnellement, je positionne ce type de coussin à ce niveau).

Le coussin a une étiquette jaune (couleur fétiche de la marque) sur un côté.

Dossier

Le dossier est entièrement noir, à l’exception du logo blanc Corsair en haut (logo qui sera caché par le coussin de tête). Il comporte deux ouvertures en plastique de type poignées qui pourront servir au déplacement de la chaise pour la ranger contre le bureau par exemple. Le tissu forme un dessin en « V » au milieu du dossier. Nous retrouvons le design style baquet de voiture avec les deux côtés qui viendront se positionner de chaque côté du corps de l’utilisateur sans toutes fois être trop cintré (c’est l’objectif de cette chaise). Le dossier fait 53 cm de large au niveau des épaules pour 83 cm de haut.

L’arrière du dossier reprend le « V » en tissu vu devant. Nous y retrouvons également le logo Corsair blanc en haut et les deux poignées en plastique aidant à la manipulation.

L’étiquette jaune vue au niveau du coussin de tête réapparaît sur le dossier.

Les coutures sont fines et propres, le tissu semble résistant (à voir sur la durée, car généralement il a tendance à se déformer après plusieurs mois d’utilisation) et le dossier a une fermeture éclair permettant de le déhousser pour un lavage éventuel (fermeture recouverte par le tissu pour la dissimuler). À certains endroits (là où il y a plus de tension sur le tissu ?), nous avons également une série de bagues métalliques.

Corsair a utilisé deux types de tissu pour habiller le dossier. Nous retrouvons un tissu classique (sur la majeure partie de la TC200) et un tissu type « feutrine » à nouveau, doux au toucher. La dissociation des deux ne se voit vraiment que si on s’approche de la chaise.

Pour le montage, le dossier a deux trous de chaque côté.

Base de la chaise

Pour maintenir la Corsair TC200, il faut une solide base. Celle-ci est en forme d’étoile à cinq branches. Entièrement noire avec peinture par poudrage pour une durabilité accrue, en acier, lourde, elle contribue au poids global du colis (je crois que le livreur ne me répondra pas ….).

Chaque extrémité des branches de la base a un orifice dans lequel viendront se positionner des roulettes. Le centre est équipé d’une partie en plastique.

Assise

Après le dossier, voici l’autre partie essentielle au confort du gamer, l’assise. Là aussi, nous retrouvons le style baquet de voiture avec les deux côtés relevés qui englobent l’utilisateur. Deux accoudoirs sont présents de chaque côté, ceux-ci vont être pourvus de nombreuses options pour un positionnement idéal.
Corsair reprend à nouveau un motif en « V » au centre de l’assise. Totalement noire, elle ne comporte pas de logo ni d’étiquette jaune. Elle mesure 455 mm de profondeur pour 395 mm de largeur.

Le tissu n’est pas complet dessous, il s’arrête aux quatre côtés et laisse libre les différents supports métalliques (à accoudoirs et, nous le verrons, à la base de contrôle de la TC200). Deux étiquettes sont présentes (références de la chaise).

La barre transversale principale va recevoir un système d’attache pour les accoudoirs. Ce système y est maintenu par quatre vis chacun et deux vis supplémentaires pour désolidariser l’accoudoir de ce système (si besoin de le changer).

Les coutures sont, là aussi, propres et Corsair y a également ajouté les deux types de tissu aperçus sur le dossier.

Le tissu est équipé de bagues cerclant des tiges métalliques pour son maintien.

Les accoudoirs 4D (pour quatre déplacements possibles) sont recouverts d’une mousse rigide sur le dessus. Ils sont équipés de plusieurs boutons pour leur réglage. Il y en a un en avant pour le déplacement d’avant en arrière.

Il y en a également un pour le déplacement latéral.

Et de l’autre côté, nous avons une manette pour régler la hauteur de l’accoudoir.

Le système de fixation du dossier à l’assise est commun à toutes les chaises gaming. Ce sont deux supports à charnière sur lesquels viendra se fixer le dossier.

Enfin, pour en finir avec les nombreux réglages de la TC200, nous avons sur le côté droit de l’assise une manette qui va servir à régler l’inclinaison du dossier. Elle va même permettre une position totalement allongée que nous n’avons pas hésité à utiliser pour un petit roupillon entre deux articles. Mais chut, le chef n’est pas au courant !!!!!

Au niveau de l’esthétique de la TC200, Corsair a agrémenté sa chaise de divers éléments. Nous retrouvons donc le nom de la chaise sur l’axe des accoudoirs, l’utilisation de deux types de tissu sur le côté de l’assise et les triangles bien connus sur le dessus des accoudoirs.

Boites d’accessoires

Mais ce n’est pas tout. Pour lier les différents éléments de la Corsair TC200 et pour son bon fonctionnement, nous avons au fond du colis (je suis inquiet pour ce livreur…) deux boites d’accessoires.

Ces boites contiennent :

  • La base du contrôle de la Corsair TC200,
  • Elles sont chouettes mes roulettes ! Elles sont en plastique, elles ont un cercle blanc et des jantes avec le logo Corsair en leur centre, elles font 75 mm de diamètre. Elles profitent d’une base solide en acier peint par poudrage,
  • Un cache vérin (pour l’esthétisme et pour le protéger),
  • Un vérin à gaz de classe 4 en acier (non ,le bouton rouge ne sert pas à déclencher une quelconque bombe…),
  • Deux caches en plastique qui recouvriront les axes sur lesquels vient se fixer le dossier de la chaise,
  • Et enfin, un ensemble de vis, tampons, caches et une clé combo Allen/cruciforme.

Page précédente 1 2 3 4 5Page suivante

Arnaud.O

Comme Obelix, je suis tombé dedans étant petit. Heureux possesseur d'un Commodore 128 à 14 ans, j'ai côtoyé les Atari et Amiga de l'époque avant de plonger définitivement dans le monde du PC. Infirmier libéral de profession, je suis habilité à vous prescrire une bonne dose de news et de tests.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Qualité / Finition
Prix
Confort
Ergonomie
Design
Note finale

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page