[Test] NZXT Relay Subwoofer : besoin de gros son ?

Conclusion

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[Test] NZXT Relay Subwoofer : besoin de gros son ?
Verdict

Premier essai réussi pour NZXT qui nous propose un subwoofer puissant.

La marque reste dans la lignée des produits qu'elle propose depuis toujours avec un subwoofer très chic et très sobre. Les lignes sont simples (coins arrondis) et le caisson fait d'un seul bloc est très élégant. Toujours dans un souci de sobriété, seule la marque sera apposée discrètement en bas du subwoofer.

À 159,99 euros, le subwoofer NZXT Relay sera le compagnon idéal de haut-parleurs qu'ils soient déjà achetés ou en complément de ceux de la marque sortis aujourd'hui. La fiche RCA présente sur de nombreux haut-parleurs le permettra sans achat de connecteur supplémentaire.

En complément de haut-parleurs, le subwoofer NZXT Relay va délivrer des basses puissantes sans saturation à fort volume. Et, cerise sur le gâteau, l'utilisateur pourra régler l'intensité des basses qu'elles soient discrètes ou très marquées. Les 180W de puissance en crête vont permettre un fonctionnement dans des pièces de 35 à 40 m2.

Ce subwoofer vient se placer aux côtés de concurrents type S6 de Audioengine ou des Sub6 de Kanto. Cependant, le subwoofer sera moins puissant que ces deux références, mais le combo haut-parleurs/subwoofer NZXT Relay sera moins cher.

Nous avons été ravis de la puissance dégagée de ce subwoofer NZXT Relay et nous avons apprécié les possibilités de réglages grâce au Cross Over et à la phase variable (options qui ne sont pas présentes systématiquement sur des subwoofer à l'achat). Nous leur attribuons notre badge "Coup de Cœur" (grenadine).

Qualité / Finition
8.8
Prix
8.8
Qualité sonore
9.1
Connectivité
8.8
Puissance
9.1
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Des basses surpuissantes
Des basses réglables
Une conception de qualité
Un combo efficace avec les haut-parleurs NZXT
Une prise RCA pour le connecter à n'importe quel HP
Points faibles
Rien
8.9

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Arnaud.O

Comme Obelix, je suis tombé dedans étant petit. Heureux possesseur d'un Commodore 128 à 14 ans, j'ai côtoyé les Atari et Amiga de l'époque avant de plonger définitivement dans le monde du PC. Infirmier libéral de profession, je suis habilité à vous prescrire une bonne dose de news et de tests.

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