Test du Phanteks P360A : une conception maitrisée ?

Conclusion

J’évoquais ce que me disait ma grand-mère en début de présentation de ce P360A : « Si ça marche, continue ! » ou alors « On prend les mêmes et on recommence ». Comme elle avait raison ! Il n’est plus question de douter de l’efficacité des façades des boîtiers de la série A, elles ont fait leurs preuves. Phanteks l’a compris et nous propose un boîtier qui prend la suite logique de ses grands frères de la Série Eclipse. Phanteks persiste et a bien raison !

Pour rappel, ce boîtier est annoncé au tarif de 69,90 euros. C’est un moyen tour capable d’accueillir des cartes mères au format E-ATX, des ventirads de 160 mm et des GPU de 400 mm. Cinq disques durs en tout sont installables. Ce sont des capacités d’accueil de matériel tout à fait honorables ! L’arrière de la paroi accueillant la carte mère est terriblement bien agencé. Nous l’avons dit, la gestion de l’espace est maitrisée !

Au niveau esthétique, ce boîtier reprend les codes de la série Phanteks. La façade biseautée en mesh assure toujours autant niveau airflow et protège efficacement des intrusions non voulues. C’est simple, c’est sobre et la petite ligne de RGB le long du cache alimentation apporte juste un petit grain de folie. Juste ce qu’il faut !

Côté performances, ce P360A assure également. Les capacités de refroidissement sont bonnes. Le niveau sonore est aussi maitrisé, nous n’entendons que très peu de différences que le matériel soit en repos ou en charge. C’est très agréable.

Si nous devions mettre un petit bémol concernant ce P360A, c’est l’absence de ventilateur fourni à l’arrière du boîtier. L’airflow n’en aurait été que meilleur sans sacrifier l’isolation du boîtier qui est déjà très bonne.

En conclusion, avec ce P360A, Phanteks nous montre qu’il maitrise les éléments qui font de ce boîtier une station d’accueil idéale de nos chers composants. Nous lui attribuons ainsi notre badge Platinium.

Platinum Badge

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Arnaud.O

Comme Obelix, je suis tombé dedans étant petit. Heureux possesseur d'un Commodore 128 à 14 ans, j'ai côtoyé les Atari et Amiga de l'époque avant de plonger définitivement dans le monde du PC. Infirmier libéral de profession, je suis habilité à vous prescrire une bonne dose de news et de tests.

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