
Campagne de Black Ops 7 : entre héritage, manipulation et chaos psychologique à Avalon City ! Dix ans après les événements de Black Ops 2, la franchise revient avec une campagne solo (ou coop jusqu’à 4 joueurs) qui réunit anciens visages familiers et nouvelles figures marquantes. On y retrouve David Mason, fils d’Alex, épaulé par Mike Harper, Eric Samuels et Leilani « 50/50 » Tupuola, dans une mission qui bascule rapidement du tactique au cauchemar existentiel.
2035 : entre guerre psychologique et dystopie technologique
Le monde de 2035 n’a plus rien de stable. Ravagé par les conflits et la désinformation, il devient le terrain d’un affrontement entre l’ancien antagoniste culte Raul Menendez, de retour avec une menace planétaire, et une mystérieuse entité techno-militaire : The Guild, dirigée par l’ambiguë Emma Kagan.

Le point de départ : une vidéo cryptique de Menendez qui annonce l’effondrement global. En réponse, The Guild promet de rétablir l’ordre, quitte à franchir toutes les lignes rouges.

David Mason, désormais commandant au sein du JSOC, est envoyé à Avalon, mégalopole méditerranéenne et centre névralgique de cette crise.

Avalon : une ville aux multiples visages

Conçue comme un personnage à part entière, Avalon est bien plus qu’un décor. Derrière ses façades high-tech, ses rues tentaculaires et ses installations secrètes, la ville incarne la philosophie trouble de The Guild. C’est aussi le théâtre du mode Endgame, pivot narratif où le joueur débloque de nouvelles capacités et affronte des vagues d’ennemis dans un environnement semi-ouvert.

Une menace qui manipule la peur
Le cœur du scénario repose sur une arme conçue pour transformer la peur en outil de domination. Exposés à ce dispositif expérimental, les membres de l’équipe de Mason voient leur perception se distordre. Le réel se mélange à leurs souvenirs, leurs traumatismes, et c’est tout le gameplay qui bascule : niveaux hallucinés, introspection forcée, paranoïa ambiante.


JSOC : une escouade aux personnalités tranchées

- David Mason : hanté par le passé de son père, il tente de garder le contrôle tout en affrontant ses propres démons.
- Mike Harper : vétéran provocateur au charisme brut, ancien boxeur et frère d’armes loyal.
- Eric Samuels : ancien agent du Secret Service, analytique, peu enclin aux improvisations.
- 50/50 : Leilani Tupuola, moitié humaine moitié bionique, qui se bat contre sa condition dégénérative avec une rage froide.

Leur dynamique renforce la narration : tension, complémentarité et conflits internes rythment l’aventure.
Entre mémoire et folie : le twist Black Ops
À mesure que l’intrigue progresse, la frontière entre mission et hallucination se brouille. Le joueur n’est jamais totalement sûr de ce qu’il vit. Une narration à la Inception, entre souvenirs modifiés et manipulations mentales. L’héritage des anciens opus est bien présent, mais repensé pour un récit à la fois autonome et profondément dérangeant.
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